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La digitalisation d'Orange en 2007
Oct. 21st, 2015 09:43 pmOrange est soumise à un énorme changement stratégique et économique, notamment au niveau des dépenses et des économies de coûts au niveau des ressources humaines.
Cependant, le service marketing a une place prioritaire et essentielle dans la nouvelle stratégie d’Orange. S’encrant sur l’image d’une « entreprise digitale », il est bien au cœur des changements de la boite. Or même si le service marketing en lui-même marche plutôt bien, les employés ne fon t que des vas en viens et le manager se retrouve plus à gérer les arrivées et départs que ses équipes et son travail en tant que chef de service.
Nous avons précédemment listés plusieurs propositions possibles d’améliorer le service marketing tout en restant sur la vague digitale.
Premièrement, concernant le manager lui-même, il ne serait pas inutile de le former à sa nouvelle fonction en tant que manager du marketing digital. En effet, il n’est pas très utile ni gratifiant et intéressant pour lui de devoir gérer les flux d’employés dans son service. De plus, il ne semble pas avoir une conception très clair de la notion de « digitaliser » l’entreprise, chose qu’il va devoir maîtriser pour les années à venir. Or plus la formation est faite tôt, plus le manager pourra être au courant de l’actualité digitale d’Orange et être peut-être même en avance sur ses autres concurrents. Si il parvient à comprendre et à utiliser cette notion, il pourra maîtriser cette zone d’incertitude et avoir du pouvoir tant dans son service que dans le plan stratégique d’Orange. Connaître ce que l’on fait c’est par conséquent aussi de pouvoir définir et donner des objectifs à soi-même et à son équipe. Cela pourrait redynamiser le service en créant un objectif commun à tous.
En restant sur l’idée de la formation que la RH pourra proposer, parlons cette fois-ci des salariés. Il serait aussi dans nos besoins de former les employés travaillant dans le service. Or Orange étant dans une optique de baisse des coûts, la formation pour tous les employés est peut-être impossible d’autant plus que cela prend du temps (donc plus personnes sur le service pendant cette durée-là) et beaucoup de moyens. Pour arriver à un juste milieu, nous proposons donc une formation courte, sous forme de séminaire où il y aurait la possibilité de faire des jeux, d’échanger des informations, d’en apprendre plus non seulement sur l’actualité digitale et l’entreprise mais aussi sur eux-mêmes, et donc de tisser des liens. Ces séminaires très courts sont très rentable car ils créés une meilleure compréhension des autres et une cohérence de groupe.
La manager peut aussi négocier avec le DRH pour la mise en place d’un statut spécial dans son service. Nous pensons que malgré les contraintes économiques, cela est faisable vu l’importance de la place du marketing digital dans les années à venir. Cela permettrait donc aux employés sous ce service de se sentir reconnu, et donc d’être motivé à rester. Et bien sûr si cela est possible, un salaire à la hauteur de l’intitulé de poste créé.
Au niveau technologique, nous proposons la mise en place d’un intranet et d’un agenda commun à tous dans le service pour pouvoir rapprocher virtuellement les employés qu’ils soient dans l’entreprise ou en déplacement à l’étranger. Au vu de la direction stratégique d’Orange, il y a une grande chance que cet outil soit mis en place car non seulement il peut faciliter la communication dans le service mais aussi dans toute l’entreprise entière si le service est bien développé. Pour nous, ceci n’est qu’une étape de la « digitalisation » d’Orange.
Cependant, le service marketing a une place prioritaire et essentielle dans la nouvelle stratégie d’Orange. S’encrant sur l’image d’une « entreprise digitale », il est bien au cœur des changements de la boite. Or même si le service marketing en lui-même marche plutôt bien, les employés ne fon t que des vas en viens et le manager se retrouve plus à gérer les arrivées et départs que ses équipes et son travail en tant que chef de service.
Nous avons précédemment listés plusieurs propositions possibles d’améliorer le service marketing tout en restant sur la vague digitale.
Premièrement, concernant le manager lui-même, il ne serait pas inutile de le former à sa nouvelle fonction en tant que manager du marketing digital. En effet, il n’est pas très utile ni gratifiant et intéressant pour lui de devoir gérer les flux d’employés dans son service. De plus, il ne semble pas avoir une conception très clair de la notion de « digitaliser » l’entreprise, chose qu’il va devoir maîtriser pour les années à venir. Or plus la formation est faite tôt, plus le manager pourra être au courant de l’actualité digitale d’Orange et être peut-être même en avance sur ses autres concurrents. Si il parvient à comprendre et à utiliser cette notion, il pourra maîtriser cette zone d’incertitude et avoir du pouvoir tant dans son service que dans le plan stratégique d’Orange. Connaître ce que l’on fait c’est par conséquent aussi de pouvoir définir et donner des objectifs à soi-même et à son équipe. Cela pourrait redynamiser le service en créant un objectif commun à tous.
En restant sur l’idée de la formation que la RH pourra proposer, parlons cette fois-ci des salariés. Il serait aussi dans nos besoins de former les employés travaillant dans le service. Or Orange étant dans une optique de baisse des coûts, la formation pour tous les employés est peut-être impossible d’autant plus que cela prend du temps (donc plus personnes sur le service pendant cette durée-là) et beaucoup de moyens. Pour arriver à un juste milieu, nous proposons donc une formation courte, sous forme de séminaire où il y aurait la possibilité de faire des jeux, d’échanger des informations, d’en apprendre plus non seulement sur l’actualité digitale et l’entreprise mais aussi sur eux-mêmes, et donc de tisser des liens. Ces séminaires très courts sont très rentable car ils créés une meilleure compréhension des autres et une cohérence de groupe.
La manager peut aussi négocier avec le DRH pour la mise en place d’un statut spécial dans son service. Nous pensons que malgré les contraintes économiques, cela est faisable vu l’importance de la place du marketing digital dans les années à venir. Cela permettrait donc aux employés sous ce service de se sentir reconnu, et donc d’être motivé à rester. Et bien sûr si cela est possible, un salaire à la hauteur de l’intitulé de poste créé.
Au niveau technologique, nous proposons la mise en place d’un intranet et d’un agenda commun à tous dans le service pour pouvoir rapprocher virtuellement les employés qu’ils soient dans l’entreprise ou en déplacement à l’étranger. Au vu de la direction stratégique d’Orange, il y a une grande chance que cet outil soit mis en place car non seulement il peut faciliter la communication dans le service mais aussi dans toute l’entreprise entière si le service est bien développé. Pour nous, ceci n’est qu’une étape de la « digitalisation » d’Orange.
C’est très difficile d’inclure ce stage dans mon projet professionnel car premièrement, celui-ci n’est pas encore entièrement défini et deuxièmement, ce stage ne fut pas exactement celui auquel je pensais trouver.
Grâce aux cours de cette année (et surtout ceux de finance et de comptabilité) j’ai réussi à définir une direction professionnelle soit une orientation possible vers le domaine de la communication et de l’événementiel. J’ai donc cherché très majoritairement dans ce domaine pour ce premier stage. Malheureusement, grand nombres d’entreprises a préféré prendre quelqu’un avec un CV plus accompli que le miens. Timbuktoo-Naming proposait une offre qui m’intéressait car il y avait une certaine dimension communication parmi d’autres. Seulement, les tâches attribuées n’avaient pas grand rapport avec ce qui était écrit sur la description de poste. Mais ces 4 mois étaient néanmoins très intéressant et riche en informations concernant le domaine de la propriété intellectuelle et du naming.
Je ne pense pas travailler plus tard dans ce domaine particulier mais je ne regrette pas ces 4 mois. Travaillant dans une start-up, j’ai pu toucher aussi bien au commercial, que au marketing et au juridique. Personnellement je trouve que cet apprentissage concernant la partie juridique sera toujours utile dans n’importe quel milieu professionnel.
Concernant mon prochain stage, cette fois, j’ai pu trouver dans ma spécialisation voulu soit la communication. En effet, à partir de octobre prochain, je serai en apprentissage chez Areva en communication et multimédia. Je pense que cette spécialisation est très importante pour moi car sortant d’une filière économie, puis après 2 ans de classe préparatoire, jusqu’à maintenant je n’ai fait que des études générales. Or je crois bien qu’il est finalement le temps de m’engager dans un enseignement spécialisant. J’espère que les cours proposés par Neoma suivent aussi cette logique car j’estime qu’en BAC+4, la spécialisation est une chose très importante.
J’attends donc avec impatience les cours à la rentrée, et mon travail de 2 ans chez Areva.
Grâce aux cours de cette année (et surtout ceux de finance et de comptabilité) j’ai réussi à définir une direction professionnelle soit une orientation possible vers le domaine de la communication et de l’événementiel. J’ai donc cherché très majoritairement dans ce domaine pour ce premier stage. Malheureusement, grand nombres d’entreprises a préféré prendre quelqu’un avec un CV plus accompli que le miens. Timbuktoo-Naming proposait une offre qui m’intéressait car il y avait une certaine dimension communication parmi d’autres. Seulement, les tâches attribuées n’avaient pas grand rapport avec ce qui était écrit sur la description de poste. Mais ces 4 mois étaient néanmoins très intéressant et riche en informations concernant le domaine de la propriété intellectuelle et du naming.
Je ne pense pas travailler plus tard dans ce domaine particulier mais je ne regrette pas ces 4 mois. Travaillant dans une start-up, j’ai pu toucher aussi bien au commercial, que au marketing et au juridique. Personnellement je trouve que cet apprentissage concernant la partie juridique sera toujours utile dans n’importe quel milieu professionnel.
Concernant mon prochain stage, cette fois, j’ai pu trouver dans ma spécialisation voulu soit la communication. En effet, à partir de octobre prochain, je serai en apprentissage chez Areva en communication et multimédia. Je pense que cette spécialisation est très importante pour moi car sortant d’une filière économie, puis après 2 ans de classe préparatoire, jusqu’à maintenant je n’ai fait que des études générales. Or je crois bien qu’il est finalement le temps de m’engager dans un enseignement spécialisant. J’espère que les cours proposés par Neoma suivent aussi cette logique car j’estime qu’en BAC+4, la spécialisation est une chose très importante.
J’attends donc avec impatience les cours à la rentrée, et mon travail de 2 ans chez Areva.
Transcription de l’interview.
Interviewée : Jeune femme de 15 ans.
Nous avons commencé l’interview avec une question d’ouverture concernant la culture générale, ce que ça représentait pour elle. Sa réponse a été que la culture générale c’est le savoir, au savoir du monde que l’on pouvait acquérir grâce au la télévision, la presse, internet. Concernant cette première question, elle a été abordée avec une certaine appréhension de la part de l’interviewée qui a cru que l’interview allait porter sur des questions de culture générale. Le début de notre entrevue s’est donc passé dans une certaine tension.
Dès le début elle m’a clairement indiqué qu’elle n’aimait pas lire mais quand elle prend le temps de lire des livres qui sont, généralement imposés par les professeurs au lycée, c’est le soir. Concernant la presse gratuite, si la première page ne l’intéresse pas ou ne l’attire pas, elle ne le prendra pas. Quotidiennement, elle va sur des réseaux sociaux et assure que les autres jeunes de son âge maintenant ne vont que sur les réseaux sociaux pour se renseigner
Elle pourrait être intéressée mais ne sait pas où se le procurer de plus elle ne voit pas l’intérêt d’un journal papier alors qu’il y a la version numérique sur internet. La présence du journal ou quelqu’un qui le distribue dans un lieu étudiant peut être un bonus : si beaucoup de personnes le prennent peut-être elle serait tentée elle aussi de le prendre. L’autre attrait qu’elle trouve au journal repose sur sa gratuité qui peut être un point fort mais en même temps elle se pose la question sur sa rentabilité.
Son format préféré de lecture est sur support numérique tel que le portable, la tablette ou l’ordinateur.
Concernant les sujets qu’elle aimerait voir figurer sur le journal, elle s’oriente beaucoup plus vers la mode, des informations rapides à lire, facile à comprendre avec beaucoup plus d’images et pas de politique. La publicité omniprésente l’a gène beaucoup. Si la première page est de la publicité, elle ne ferait même pas l’effort de prendre le journal, même si elle comprend le fait que la presse gratuite survie principalement que grâce à la publicité.
Elle dit avouer que dans les journaux gratuits, seuls les rubriques de type loisir ou distraction peuvent l’intéresser tel que l’horoscope, les mots croisés, ou encore les petites informations qui peuvent améliorer le bien-être.
Pour conclure, nous avons parlé d’un journal « idéal » pour elle. Elle l’imagine comme étant beaucoup plus synthétique, court, sans articles de plus d’une page pour attirer les jeunes qui n’aiment pas lire et qui parlent plus de sujets qui peuvent les intéresser (tel que la mode, les dernières technologies…). Car selon elle il y a une certaine pression sur les élèves de la filière générale ES de la part de leurs professeurs : ils savent qu’ils doivent s’informer et rester au courant de l’actualité mais ne le font pas tous par manque d’intérêt. Ils aimeraient donc un journal très concis et court, qui résume en quelques lignes seulement les actualités.
Interviewée : Jeune femme de 15 ans.
Nous avons commencé l’interview avec une question d’ouverture concernant la culture générale, ce que ça représentait pour elle. Sa réponse a été que la culture générale c’est le savoir, au savoir du monde que l’on pouvait acquérir grâce au la télévision, la presse, internet. Concernant cette première question, elle a été abordée avec une certaine appréhension de la part de l’interviewée qui a cru que l’interview allait porter sur des questions de culture générale. Le début de notre entrevue s’est donc passé dans une certaine tension.
Dès le début elle m’a clairement indiqué qu’elle n’aimait pas lire mais quand elle prend le temps de lire des livres qui sont, généralement imposés par les professeurs au lycée, c’est le soir. Concernant la presse gratuite, si la première page ne l’intéresse pas ou ne l’attire pas, elle ne le prendra pas. Quotidiennement, elle va sur des réseaux sociaux et assure que les autres jeunes de son âge maintenant ne vont que sur les réseaux sociaux pour se renseigner
Elle pourrait être intéressée mais ne sait pas où se le procurer de plus elle ne voit pas l’intérêt d’un journal papier alors qu’il y a la version numérique sur internet. La présence du journal ou quelqu’un qui le distribue dans un lieu étudiant peut être un bonus : si beaucoup de personnes le prennent peut-être elle serait tentée elle aussi de le prendre. L’autre attrait qu’elle trouve au journal repose sur sa gratuité qui peut être un point fort mais en même temps elle se pose la question sur sa rentabilité.
Son format préféré de lecture est sur support numérique tel que le portable, la tablette ou l’ordinateur.
Concernant les sujets qu’elle aimerait voir figurer sur le journal, elle s’oriente beaucoup plus vers la mode, des informations rapides à lire, facile à comprendre avec beaucoup plus d’images et pas de politique. La publicité omniprésente l’a gène beaucoup. Si la première page est de la publicité, elle ne ferait même pas l’effort de prendre le journal, même si elle comprend le fait que la presse gratuite survie principalement que grâce à la publicité.
Elle dit avouer que dans les journaux gratuits, seuls les rubriques de type loisir ou distraction peuvent l’intéresser tel que l’horoscope, les mots croisés, ou encore les petites informations qui peuvent améliorer le bien-être.
Pour conclure, nous avons parlé d’un journal « idéal » pour elle. Elle l’imagine comme étant beaucoup plus synthétique, court, sans articles de plus d’une page pour attirer les jeunes qui n’aiment pas lire et qui parlent plus de sujets qui peuvent les intéresser (tel que la mode, les dernières technologies…). Car selon elle il y a une certaine pression sur les élèves de la filière générale ES de la part de leurs professeurs : ils savent qu’ils doivent s’informer et rester au courant de l’actualité mais ne le font pas tous par manque d’intérêt. Ils aimeraient donc un journal très concis et court, qui résume en quelques lignes seulement les actualités.
Motivation
Apr. 24th, 2015 10:14 pmJ'ai créé il y a un bout de temps un fichier word pour pouvoir écrire un pitch de présentation dans le cadre de mon cours de TI. Seulement par manque de motivation le fichier est toujours resté vide sur mon bureau... Celà fait donc 2 semaines que tous les jours en allumant mon ordinateur, je vois mon fichier "Pitch", que je réfléchie 3 seconde dessus, et que je passe à autre chose.
